418 morts hier en France (chiffre sous-évalué) et ce soir ce sera pire

1/ L’Agence du médicament publie une mise en garde à la suite de trois décès suspects sous hydroxychloroquine en Nouvelle-Aquitaine, une des régions les moins exposées (pas de dossier reçu par les ARS des autres régions)

Question : sur quels critères impute-t-on la responsabilité de l’hydroxychloroquine ?
Question : s’est-on assuré que ces personnes n’avaient pas une atteinte cardiaque liée au virus (myocardite, myopéricardite, péricardite ou des antécédents cardiaques) ?

2/ Combien de morts sous hydroxychloroquine en 2017, 2018, 2019 ?

Question : l’ANSM peut-elle nous répondre et publier les rapports annuels de pharmacovigilance du Plaquénil sur ces 3 années (transparence) ?

3/ Faire confiance aux rhumatologues qui la prescrivent chez des patients fragiles et de façon chronique

« Il faut être factuel, simple. On a des données de tolérance depuis 30 ans, qui montrent que ce n’est pas un produit hautement toxique. Il faut le manier avec la prudence mais ce n’est pas hautement toxique. C’est un médicament utilisé en première ligne dans de nombreuses maladies inflammatoires. » Pr Jean Sibilia, chef de service de rhumatologie, CHU de Strasbourg

4/ Ecouter les cardiologues, ceux qui connaissent vraiment bien la molécule, ceux qui surveillent les patients des rhumatologues…

« Je demande un nouveau décret permettant à tous les médecins français qu’ils soient libéraux ou hospitaliers de pouvoir prescrire 600 mg de Plaquénil et 250 mg d’azithromycine par jour pendant dix jours à leurs patients atteints de COVID-19 symptomatiques. » Dr Philippe Douste-Blazy

5/ On a mis en avant un usage toxique non médicamenteux, une communication confuse

Comme ce cas d’un homme mort aux Etats-Unis « sous chloroquine » – en fait l’homme a absorbé du phosphate de chloroquine utilisé pour désinfecter les aquariums, produit qui lui est très toxique.

6/ De grands noms s’élèvent contre l’opposition excessive à l’hydroxychloroquine et la FDA autorise sa prescription à tous les stades de la maladie

Notre étude permet de garantir une vigilance cardiologique liée à association avec l’azithromycine
– Respect des contre-indications cardio à l’inclusion
– Surveillance ECG – arrêt de la prise si allongement du QT (trouble de la conduction)

Twitter @laissonslespre1

Contacts presse :
Alexandra CARRASCO – 06 78 65 46 69
Marie-Noëlle BAS – 06 37 40 42 69
[email protected]

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