HYPOTHÈSE DE TRAVAIL N°1
L’HYDROXYCHLOROQUINE (HCQ) ASSOCIÉE À L’AZITHROMYCINE (AZM) EN PHASE PRÉCOCE DU COVID-19 DIMINUE LE RISQUE D’ÉVOLUTION FATALE
HYPOTHÈSE DE TRAVAIL N°2
L’HYDROXYCHLOROQUINE (HCQ) SEULE POURRAIT ÊTRE EFFICACE EN CHIMIOPROPHYLAXIE (PRÉVENTION) DE L’INFECTION COVID-19
Au lieu de tout mettre en œuvre pour valider ou invalider
ces deux hypothèses, tout est fait pour semer la confusion
et empêcher les médecins de terrain de travailler
Aucun des résultats des études réalisées chez des patient-e-s hospitalisé-e-s à des stades graves de la maladie et publiés ces derniers jours n’entre dans le cadre de l’évaluation du protocole proposé par le Professeur Raoult.
Le protocole HCQ/AZM est un traitement adapté précisément à la médecine ambulatoire et c’est cette médecine libérale qui n’a aujourd’hui plus accès au Plaquénil®, en conséquence du décret du 26/03/2020, non justifié médicalement.
Nous constatons que se développe une campagne de désinformation de plus en plus organisée qui finit par poser de réelles questions, au-delà de l’éthique.
À l’heure d’un déconfinement annoncé, toutes les mesures préventives et curatives sont essentielles pour assurer la sécurité de la population, en l’occurrence de toutes les personnes qui ne sont pas immunisées et pour lesquelles la perspective d’un traitement efficace en phase précoce serait tout simplement une solution. À ce jour, l’Institut Pasteur estime le taux d’immunisation de la population française à 5,7%.
Les critiques sur les derniers résultats de l’IHU Méditerranée peuvent maintenant être balayées, grâce, notamment, aux analyses des mathématiciens qui ont souligné que si la population des + de 60 ans incluse dans l’étude n’avait pas été traitée par le protocole HCQ/AZM, ce ne sont pas cinq mais une vingtaine de décès qui aurait été déplorée.
Le collectif #Covid19-Laissons les médecins prescrire » aurait également déjà apporté nombre de réponses à ce questionnement si les médecins libéraux COVID+ voulant s’auto-traiter avaient pu avoir accès au Plaquénil®. Un recueil rétrospectif de données est néanmoins en cours. Rappelons, en ce temps de crise sanitaire, que les esprits chagrins qui ne veulent pas entendre parler de l’hydroxychloroquine ne sont pas obligés d’en prendre ni d’en prescrire.
LAISSONS LES MÉDECINS PRESCRIRE !
Le collectif de médecins libéraux et hospitaliers #Covid19-Laissons les médecins prescrire réclame la liberté d’auto-prescription de l’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine, sous stricte surveillance médicale, dans le but de réaliser une étude observationnelle rigoureuse portant sur plus d’un millier de médecins français infectés par le Covid-19.
Twitter @laissonslespre1
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