Un grand nombre de collectifs de médecins en Europe et dans le monde sont très inquiets des mesures disproportionnées que prennent les pouvoirs publics eu égard à l’évolution de l’épidémie de Covid-19, et des conséquences extrêmement dommageables de celles-ci sur l’économie et la santé de la population.

Est-il besoin de rappeler que “La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’autres incapacités” ? Sur le postulat d’une deuxième vague et de l’absence d’un traitement pour le Covid-19, les autorités restreignent la liberté de rassemblement, ferment des écoles, des restaurants, des cafés, annulent des événements culturels, continuent à imposer le masque jusque dans les salles d’accouchement et à diffuser la peur !

D’ailleurs, sur quelles données s’appuient-ils ? Qui explique au peuple les facteurs qui déterminent les prises de décision ? Quel est le pourcentage de la population qui pourrait définir ce qu’est une courbe d’incidence. Et pourtant, c’est ce facteur répété ad nauseam dans les médias, qui est censé justifier l’actuelle politique sanitaire ? Combien de citoyens ont eu connaissance des nombreuses études scientifiques concluant à l’efficacité de l’hydroxychloroquine en phase précoce ?

Le facteur de reproduction est aujourd’hui de 0,97, ce qui correspond à une régression de l’épidémie. Chaque malade ne contamine pas plus d’une personne. C’est un chiffre officiel. Le nombre général de décès en France est « habituel ».

La gestion des masques a été catastrophique. Même constat pour la gestion des tests. Est-il raisonnable d’adosser une politique sanitaire à des résultats de tests PCR non spécifiques, dont aucun scientifique sérieux, à commencer par leur inventeur, n’affirmerait qu’ils soient fiables pour établir un diagnostic ? Et ce d’autant plus que l’on a augmenté le nombre de cycles d’amplification. Est-il raisonnable de laisser la population décider de se faire tester de manière indiscriminée, sans avoir de symptômes, sans même avoir consulté un médecin ? Il en résulte un engorgement des laboratoires dommageables pour les autres pathologies à diagnostiquer. A 75 euros le test, cela représente un gaspillage scandaleux, alors même que l’on annonce une baisse du budget du ministères des Solidarités et de la Santé.

Est-il utopique dans notre démocratie d’exiger une transparence totale des chiffres et des connaissances scientifiques qui permettent de déterminer des stratégies efficaces pour lutter contre le Covid-19 ?

LE PAYS EST A BOUT !
LAISSONS LES MEDECINS DE TERRAIN FAIRE LEUR TRAVAIL !

Le collectif #COVID19-LaissonsLesMédecinsPrescrire suggère une charte des bonnes pratiques médicales pour aborder le Covid-19 dans le respect de la liberté et de la transparence.

Télécharger le communiqué de presse au format pdf

Télécharger la charte COVID.pdf

 LAISSONS LES MÉDECINS PRESCRIRE !

Le collectif de médecins #COVID19-LaissonsLesMédecinsPrescrire, après avoir réclamé en mars 2020 la liberté d’auto-prescription de l’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine, sous stricte surveillance médicale, dans le but de réaliser une étude observationnelle rigoureuse portant sur plusieurs milliers de médecins français infectés par le Covid-19, veille à ce que la médecine ne soit pas utilisée comme alibi pour maltraiter les populations.

Twitter @laissonslespre1

Contacts presse : Alexandra CARRASCO – [email protected]

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