France Soir le 28 décembre 2020
Ce témoignage mis en ligne par France Soir semble bien être un tournant, et ce à plus d’un titre tant il est poignant : entendre ainsi un médecin être obligé de masquer sa voix parce qu’il a soigné et guéri (!) en suivant un protocole préconisé également par Violaine Guérin du Collectif Laissons les médecins prescrire, par le Dr Jean-Jacques Erbstein, et, en partie, par les professeurs Didier Raoult et Christian Péronne (azithromycine, zinc, vitamines D et C) les bras en tombent ; comment est-ce possible ? Sommes-nous tombés si bas pour qu’un médecin chuchote que, oui, il soigne, et pas seulement avec du Doliprane ?…
Molière s’en moquerait bien sûr, Voltaire serait outré… Mais au XXIème siècle tout revient, Nietzsche avait donc bien raison avec « l’éternel retour du Même », chassez le naturel il revient au galop, l’oppression, la tyrannie, reviennent par la fenêtre alors que le principe pourtant constitutionnel de laisser aux professionnels reconnus le droit d’exercer leur art (Préambule de la Constitution du 27 octobre 1946, article 5) devrait permettre à un médecin de prescrire en son âme et conscience, point final.
Ce n’est pas parce que C-19 n’est toujours pas connu à 100% qu’il faille tout centraliser, et, surtout, adopter des approches méthodologiques inadaptées visiblement au lieu de s’appuyer tout de suite sur tous ces professionnels qui avaient obtenu des résultats probants, essayant tout, inventant (la France toujours pionnière) ils ne voulaient pas laisser leurs malades mourir comme l’écrit le docteur Erbstein, où est le mal ? Des médailles et autres lauriers devraient leur être octroyés…
Au lieu de cela ne voilà-t-il pas qu’ils sont menacés par leur Ordre censé plutôt les défendre ? Où va-t-on ?… Et ceux qui les attaquent, souvent d’ailleurs incompétents en la matière, iront les traiter de « complotistes, rassuristes » parce qu’ils osent faire leur métier tout simplement, rassurer, oui, cette maladie n’est décidément pas la peste…
Sommes-nous sous hypnose ?
Comment est-ce possible qu’à l’aube de 2021 un médecin soit obligé de masquer sa voix pour avouer qu’il a soigné des malades et, surtout, les a guéri ?… Or, personne ou presque ne réagit, peu d’intellectuels, de savants, très peu de journalistes également, comme si l’esprit de Voltaire, l’indignation d’un Hugo, d’un Zola, la hargne d’un Danton, l’analyse froide et tranchante (!) d’un St Just avaient disparu par la même occasion, symptômes dans ce cas et par excellence que la République française se meurt et se rend (vend) au plus offrant ?… Constat terrible ! Où est cette Vieille Garde censée défendre ce qu’il en reste de cette grandeur que le monde entier nous envie encore, où est-elle ? Que se passe-t-il ? Sommes-nous réellement sous hypnose alors que ce virus s’avère bénin pour 99% des « cas » voire est bien moins létal pour les enfants (aujourd’hui violentés par un masque inutile) alors que ceux-ci étaient souvent touchés et gravement par ces infections pulmonaires qui tuent chaque année dans le monde de trois à quatre millions de personnes ?…
Comment se fait-il que peu de gens se lèvent (de plus en plus cependant) sans succès d’ailleurs pour l’instant ? Faudrait-il alors que des groupes de citoyens organisés en nouveaux Comités de Salut public aillent jusqu’à s’enchaîner aux « grilles du Palais » parce qu’en France cela marche comme cela et qu’il n’est pas vrai que C-19, si bénin aux dires mêmes des censeurs et inquisiteurs, s’attaquerait, en priorité, aux théâtres, cinémas, salles de sport, restaurants, discothèques, et non aux transports en commun où l’on s’entasserait éperdument ?…
L’illusion d’en finir une fois pour toute avec ce virus
Alors, oui, bien sûr, il y a bien nous disent les nouveaux censeurs cette idée (capricieuse) d’« en finir » avec ce virus, tout comme la misère et la guerre dans le monde, sans admettre que ces combats s’avèrent permanents (cela a été bien vu avec l’effondrement du communisme qui vivait sous cette illusion) et surtout s’accomplissent avec l’expérimentation de tous les moyens à disposition et non pas en prétendant d’avance trancher sur ce qui marche ou pas ; d’autant que les études censées étayer ces affirmations péremptoires se sont avérées fallacieuses (LancetGate) sans oublier ces médicaments achetés à prix d’or qui ne marchent guère jusqu’à ce vaccin tant vanté pour une maladie qui se soigne si l’on s’y prend de manière précoce et qui touche une infime proportion de personnes par ailleurs à « risque » et qu’un système de santé de qualité permettrait de prendre en charge sans empêcher la société de vivre et non pas survivre avec ce « nécessaire » arbitraire asséné du haut des « 20 heures » à répétition.
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