Le quotidien du médecin, le 17 janvier 2021

De plus en plus d’informations, mais aussi de désinformations à propos de l’Ivermectine, mais comme on dit, il n’y a pas de fumée sans feu. S’il y a désinformation, c’est que l’information dérange. Les informations, viennent de l’étranger, la désinformation est beaucoup française, pays qui dénigre tout par principe, avant de réfléchir.

INFORMATIONS (étrangères)

Dernière en date : le NIH, National Institute of Health, aux Etats Unis, viendrait d’autoriser les médecins à prescrire plus librement l’Ivermectine. 

On est malheureusement dans le demi-fake. La lecture de la « décision » du NIH est différente : le NIH a simplement dit ; « c’est intéressant, il y a des résultats positifs, mais nous continuerons à examiner d’autres essais au fur et à mesure de leur publication avant de nous prononcer définitivement en faveur d’une recommandation ».  C’est une avancée, mais pas encore une victoire, car avant c’était non, alors que maintenant c’est pourquoi pas ? Cela autorise toutefois les médecins à prescrire sous leur responsabilité, sur la foi d’études préliminaires à renforcer.

Les méta-analyses actuelles des études sur l’ivermectine dans le monde entier montrent des avantages indiscutables contre le SRAS-CoV-2.  Le manuscrit rédigé par la FLCCC a été accepté pour publication, après un rigoureux examen par les pairs, et sera publié dans les deux prochaines semaines. Peut être consulté ici en avant-première. 

Lire la suite sur le site de blog du Quotidient du médecin….

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