Covid-19 laissons les médecins prescrire



Edito
Nous avons créé le collectif « Laissons les médecins prescrire » courant mars dans le but notamment de réaliser une étude pour vérifier l’éventuelle efficacité du traitement associant l’administration précoce d’hydroxychloroquine (HCQ) et d’azithromycine (AZM) tel que proposé par le Pr Raoult à l’IHU de Marseille. Notre idée était que les médecins touchés par la maladie puissent s’auto-prescrire le traitement. Le laboratoire Sanofi France avait accepté de mettre l’HCQ nécessaire à disposition des médecins volontaires.
Malgré une demande massive des médecins libéraux, cette étude n’a pas pu être mise en place à cause du décret publié le 26 mars qui a explicitement interdit la prescription d’HCQ en ville y compris en auto-prescription.
Plusieurs demandes ont alors été réalisées auprès de la Direction Générale de la Santé et du Ministère pour que cette étude en usage compassionnel puisse se tenir. Aucune réponse favorable n’a été donnée. Il était pourtant d’un grand intérêt de conduire une étude prospective chez des médecins, en capacité de donner un consentement éclairé et de s’auto-surveiller cliniquement.
Bien que l’HCQ ait été en vente libre jusque mi-janvier et que c’est le second médicament le plus prescrit au monde, il était interdit de le prescrire en France au nom de problèmes de pharmacovigilance confus et sans substratum réel.
Le collectif a alors conduit une étude rétrospective qui a été expliquée dans un rapport en langue française (lien https://stopcovid19.today/2020/04/30/rapport-etude-retrospective-3-approches-therapeutiques-differentes/) et sous forme d’article en langue anglaise (lien https://www.journalajmah.com/index.php/AJMAH/article/view/30224). Elle démontre qu’il existe des traitements efficaces pour traiter précocement les malades atteints du Covid-19. Cette étude est confortée par de plus en plus de publications dans le monde (https://c19study.com/). C’est la raison pour laquelle, plus que jamais, le collectif est vigilant sur la liberté de prescription pour les médecins de ville.
Le refus de traiter les patients précocement atteints a eu pour conséquence la mise en place de deux confinements dévastateurs pour la société française dans son ensemble (impacts économiques, sociaux, humains et psychotraumatiques), confinements qui n’ont aucun rationnel scientifique et qui entraînent des mesures liberticides au nom de la santé.
Vous aussi cette situation vous interpelle ? Rejoignez le collectif et aidez-nous à faire changer les choses…
Médecins ou citoyens, qui que vous soyez, n’hésitez pas à signer le manifeste « LA 4e Voie » ! Lien https://manifestes-libertes.org/
- Vos témoignages :
Communiqués de Presse
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Dernier communiqué de presse :
APPEL DU 9 JANVIER
Depuis un an, au prétexte d’une épidémie dont la dimension réelle reste à prouver (cf surmortalité en 2020 dans les différents pays), notre santé nous a été littéralement confisquée. Pour nous soigner, nous dépendons désormais des décisions contradictoires et souvent arbitraires, non justifiées par la science, d’un gouvernement conseillé par un comité de scientifiques aux nombreux conflits d’intérêts. Depuis un an, nous subissons…
REPRENONS NOTRE DESTIN EN MAINS !
RECOUVRONS LE POUVOIR SUR NOTRE SANTÉ !
COORDINATION SANTÉ LIBRE
La coordination regroupe des collectifs de médecins, de soignants et de scientifiques qui ne partagent pas la gestion sanitaire actuelle.
La coordination, sans conflits d’intérêt, représente 30 000 médecins, autant de soignants et plus de 100 000 citoyens.
À l’issue de sa première journée de réunion, la coordination a abordé différents thèmes et adopté les résolutions suivantes :
- Création d’un Conseil Scientifique Indépendant (CSI)
- Proposition de résolution invitant le Gouvernement à utiliser le droit commun (Article 131-1 du Code de Santé Publique) pour gérer les menaces sanitaires
- Création d’une cellule « Stratégie Thérapeutique » (tests diagnostiques, soin, prévention)
- Création d’une cellule « Chiffres »
- Création d’une cellule « Vaccins »
- Création d’une cellule « Information des populations »
- Création d’une cellule « EHPAD »
- Rappels au Conseil National de l’Ordre des Médecins
- Rappels aux syndicats médicaux
- Actions juridiques dont sollicitation de la Défenseure des Droits
La coordination s’est exprimée publiquement dans « L’Appel du 9 janvier » dirigé vers 3 populations cibles :
- les confrères et consœurs médecins
- les soignants et scientifiques
- les citoyens
RETROUVEZ L’INTEGRALE DES DECLARATIONS ICI https://www.youtube.com/watch?v=3Vn3KeYxFKc&feature=youtu.be
Télécharger le communiqué de presse au format pdf
LAISSONS LES MÉDECINS PRESCRIRE !
Le collectif de médecins #COVID19-LaissonsLesMédecinsPrescrire, après avoir réclamé en mars 2020 la liberté d’auto-prescription de l’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine, sous stricte surveillance médicale, dans le but de réaliser une étude observationnelle rigoureuse portant sur plusieurs milliers de médecins français infectés par le Covid-19, veille à ce que la médecine ne soit pas utilisée comme alibi pour maltraiter les populations.
Contacts presse : Alexandra CARRASCO – presse@stopcovid19.today
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Qui sommes-nous ?
Présentation initiale du collectif
Le collectif « COVID19-Laissons les médecins prescrire » regroupe des médecins, libéraux mais aussi hospitaliers répartis sur l’ensemble du territoire, inquiets par la polémique des jours derniers quant à l’utilisation de l’hydroxychloroquine dans le traitement du Covid-19. Ils considèrent que cette polémique donne une image de nature à semer la confusion dans l’esprit du public.
Nous devons avoir maintenant une attitude solidaire et efficace pour répondre à l’inquiétude de nos soignants et de nos patients.
Le Président de la République a très clairement indiqué que la Nation est en état de guerre sanitaire. Il est fait appel à toutes les forces vives qui le peuvent pour participer à cet effort de guerre, chacune dans son domaine de compétence.
Une étude clinique a été lancée au niveau européen (étude Discovery) à laquelle la France participe. Ce projet étudie l’efficacité d’un certain nombre de molécules ou associations de molécules anti-virales. L’hydroxychloroquine a été intégrée à l’étude mais en prescription isolée non associée à l’azithromycine (https://www.inserm.fr/actualites-et-evenements/actualites/covid-19-demarrage-essai-clinique-discovery), ce qui ne permettra donc de juger que de l’éventuelle efficacité de l’hydroxychloroquine mais pas de l’association à l’azithromycine. De plus il faudrait s’assurer que les patients auxquels elle est prescrite présentent bien une forme précoce de la maladie puisque le rationnel pharmacologique de l’action de l’hydroxychloroquine est la réduction de la charge virale au tout début de l’infection.
Afin de contribuer à disposer rapidement d’éléments complémentaires sur l’efficacité de l’association hydroxychloroquine et azithromycine administrées précocement chez des patients symptomatiques testés positifs au Covid-19, il serait utile de débuter une étude observationnelle structurée.
Nous savons que de nombreux soignants souhaitent et utilisent d’ailleurs déjà en auto-prescription l’hydroxychloroquine parfois en association avec l’azithromycine. Nous devons répondre à cette demande urgente en faisant tout pour coordonner cela avec rigueur ce qui permettrait d’obtenir le cas échéant des résultats complémentaires dans l’attente de ceux des études randomisées en cours.
Un décret récent (26 mars 2020) interdit l’accès à l’hydroxychloroquine en dehors de ses indications prévues par A.M.M. sauf dans un cadre hospitalier et surtout uniquement pour des patients dont la maladie a évolué à un stade suffisamment prononcé pour nécessiter de mettre les patients sous oxygène ou en réanimation. L’on connaît tous la situation d’extrême tension que vivent actuellement les services de réanimation et de médecine intensive.
Le collectif, qui comprend, des cliniciens au contact quotidien avec les patients, mais aussi des médecins disposant d’une grande expérience en matière d’études cliniques et d’analyse bio-statistique a mis en place un outil de recueil de données standardisées. À ce jour, plusieurs milliers de médecins en France sont infectés par le virus et présentent des signes de Covid-19. Certains, malheureusement, ont déjà payé de leur vie. Il est utile de collecter avec rigueur les données de ceux qui souhaitent un traitement précoce.
Les membres de ce collectif, soutenus par des médecins parlementaires, demandent qu’il leur soit possible d’accéder de toute urgence au traitement par hydroxychloroquine pour traiter dans un premier temps ceux d’entre eux qui sont infectés dans le cadre d’une étude observationnelle qui va obtenir des données avec rigueur. Ils ont parfaitement conscience des précautions d’emploi de ce produit commercialisé depuis 1949 et notamment de celles à prendre sur le plan cardiologique et ils sont parfaitement à même de les garantir.
Chaque prescription fera l’objet d’un recueil de données observationnelles qui permettra très rapidement d’analyser cette étude compassionnelle qui pourra contribuer à comprendre l’efficacité éventuelle de ce protocole et ce en dehors de toute polémique.
Coordination médecins libéraux : Dr Violaine GUERIN
Coordinations médecins parlementaires : Dr Martine WONNER
Le communiqué de presse au format pdf
News
Dernière news :

Covid : scandale à Compiègne
Le quotidien du médecin, le 21 janvier 2021
A la une de la presse ce matin, l’hôpital de Compiègne. 172 patients, et surtout 72 soignants touchés par le virus, apparemment un mutant venu de nulle part. L’hôpital ne peut plus faire face aux besoins de la population. L’activité a dû être réduite de 30% et des malades doivent être transférés dans des établissements voisins.
Cette situation aurait pu être évitée. En effet si messieurs Castex et Véran, au lieu de répondre aux élus : « je ne sais pas de quoi vous parlez » s’étaient intéressés aux traitements précoces de la Covid, cela ne serait pas arrivé, ni à Compiègne, ni dans d’autres établissements à venir.
Si leurs « conseils » et « conseillers » scientifiques avaient aussi fait leur travail, si toutes ces personnes payées pour régler la crise actuelle cherchaient un peu d’autres alternatives au tout vaccin, (qui mettra 1 an pour se mettre en place, le temps que sa propre immunité disparaisse et que des mutants résistants apparaissent, remettant tout à zéro), regardaient ce qui se passe ailleurs et lisaient ce qui s’écrit sur le sujet en France, Compiègne tournerait à 100% de ses capacités.
En mai 2020, les Argentins ont démarré une expérience dans 4 hôpitaux différents, publiée en aout. 1 195 soignants au contact de patients Covid ont été suivis. 788 ont reçu de l’Ivermectine, 407 rien. Après 2 mois et demi, on a constaté 237 infections dans le groupe non traité, soit 58%, et ZERO dans le groupe traité. Résultat sans appel. Aucun problème chez les contaminés, qui ont été traités une fois malades.
Si au lieu de chercher des statisticiens pour manipuler ces résultats, si au lieu de fermer les yeux et les oreilles, et si les soignants de Compiègne et d’ailleurs étaient traités à titre préventif par ce médicament bénin, nos hôpitaux tourneraient sans soucis. Même chose dans nos Ehpads. On a constaté la chose dans un établissement en Seine et Marne, ce n’est pas pour autant qu’on en a tiré les conclusions évidentes qui s’imposent.
Il serait temps que nos énarques et Science-Po, ministres, directeurs de cabinets et de toutes nos institutions abandonnent leur complexe de supériorité pour regarder ce que font les gens sur le terrain, et reproduisent ce qui réussit, au lieu de les ignorer.
Complément 15 heures :
En déplacement à l’université de Paris-Saclay, le chef de l’Etat a déploré jeudi midi « la traque incessante de l’erreur ».
Eh bien justement, il faut identifier les erreurs pour les corriger, sinon on ne progresse pas, et ceux qui sont atteints de Dunning-Kruger n’ont pas cette capacité et il faut les aider.Et de conclure : « Nous avons besoin d’avoir des femmes et des hommes qui cherchent, qui ont la capacité à inventer ce qui n’est pas encore perceptible et à se tromper, pour pouvoir corriger le plus vite possible et s’améliorer ». Comment faire si on ne cherche pas les erreurs ? Et quand il dit : « celui qui ne fait pas d’erreurs, c’est celui qui ne cherche pas, qui ne fait rien », dans les circonstances actuelles, c’est justement celui qui ne fait rien et qui ne cherche pas qui fait une erreur !
Lire la suite sur le site de blog du Quotidient du médecin….
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Enrôlement étude compassionnelle
Vous êtes médecin et
1/ êtes prêt/e à vous traiter ou
2/ vous vous êtes déjà traité/e ou
3/ vous avez traité des patients selon le schéma thérapeutique hydroxychloroquine seule ou hydroxychloroquine + azithromycine :
merci d’entrer les données de suivi dans l’étude compassionnelle. Nous vous donnerons accès à l’outil de saisie de l’étude afin de vous permettre d’alimenter celle-ci de vos données pour exploitation.
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