Covid-19 laissons les médecins prescrire

LLMP Covid19 Summary file translations

MANIFESTE DES MÉDECINS POUR UNE QUATRIÈME VOIE

La France déplore aujourd’hui plus de 40.000 décès causés par la Covid-19. Quatre fois plus que nos voisins allemands. En neuf mois, la connaissance de ce virus et de cette maladie a malgré tout progressé grâce à une collaboration inédite des scientifiques au niveau mondial. Pourtant, notre gouvernement, lui, campe sur ses positions initiales et n’a fondamentalement pas remis en question sa stratégie pour lutter contre cette épidémie. Comme au mois de mars, et comme tous les automnes, nos hôpitaux sont en voie d’être saturés, entre autres par les affections respiratoires d’origine virale, sans qu’aucune mesure consistante n’ait été tentée pour l’éviter.

Lors de son allocution du 28 octobre, le Président de la République n’a envisagé que trois voies possibles :

  • Ne confiner personne pour compter sur l’immunité collective, ce qui obligerait à accepter une mortalité plus importante
  • Confiner uniquement les plus fragiles puisque la Covid-19 tue surtout les personnes âgées (l’âge moyen de décès est de 84 ans)
  • Confiner tout le monde, solution retenue par le gouvernement. Ce fut aussi la solution choisie lors de la grande peste au 18e siècle. Notre médecine n’a-t-elle fait aucun progrès depuis 3 siècles ?

Or, nous affirmons que nous ne sommes pas condamnés à voir augmenter le nombre de malades admis en réanimation, nous ne sommes pas impuissants à stopper le tsunami de désespoir et de misère qui pointe à l’horizon.

Nous soutenons qu’il existe une QUATRIEME VOIE consistant à remettre le médecin traitant au coeur de la lutte contre la Covid-19

LA PRÉVENTION : Des moyens pour augmenter ses défenses immunitaires

LA DÉTECTION CIBLÉE : Des dépistages prescrits et suivis par le médecin traitant

UN TRAITEMENT PRÉCOCE : Une série d’approches thérapeutiques qui ont fait leurs preuves

Le manifeste que vous trouverez en PJ est signé par des médecins, des professionnels de santé et du soin. Nous commençons par publier les 250 premiers signataires (228 médecins de toutes spécialités et22 professionnels de la santé) et communiquerons tous les jours sur le sujet. Nous vous saurions gré de publier ce manifeste dans vos colonnes et de vous en faire l’écho.

Ce manifeste est ouvert à signature de tous les citoyens qui veulent le soutenir en cliquant sur ce lien https://manifestes-libertes.org/

Télécharger le communiqué de presse au format pdf

 LAISSONS LES MÉDECINS PRESCRIRE !

Le collectif de médecins #COVID19-LaissonsLesMédecinsPrescrire, après avoir réclamé en mars 2020 la liberté d’auto-prescription de l’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine, sous stricte surveillance médicale, dans le but de réaliser une étude observationnelle rigoureuse portant sur plusieurs milliers de médecins français infectés par le Covid-19, veille à ce que la médecine ne soit pas utilisée comme alibi pour maltraiter les populations.

Twitter @laissonslespre1

Contacts presse : Alexandra CARRASCO – [email protected]

COVID-19 : Une pathologie qui se soigne

Un grand nombre de collectifs de médecins en Europe et dans le monde sont très inquiets des mesures disproportionnées que prennent les pouvoirs publics eu égard à l’évolution de l’épidémie de Covid-19, et des conséquences extrêmement dommageables de celles-ci sur l’économie et la santé de la population.

Est-il besoin de rappeler que “La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’autres incapacités” ? Sur le postulat d’une deuxième vague et de l’absence d’un traitement pour le Covid-19, les autorités restreignent la liberté de rassemblement, ferment des écoles, des restaurants, des cafés, annulent des événements culturels, continuent à imposer le masque jusque dans les salles d’accouchement et à diffuser la peur !

D’ailleurs, sur quelles données s’appuient-ils ? Qui explique au peuple les facteurs qui déterminent les prises de décision ? Quel est le pourcentage de la population qui pourrait définir ce qu’est une courbe d’incidence. Et pourtant, c’est ce facteur répété ad nauseam dans les médias, qui est censé justifier l’actuelle politique sanitaire ? Combien de citoyens ont eu connaissance des nombreuses études scientifiques concluant à l’efficacité de l’hydroxychloroquine en phase précoce ?

Le facteur de reproduction est aujourd’hui de 0,97, ce qui correspond à une régression de l’épidémie. Chaque malade ne contamine pas plus d’une personne. C’est un chiffre officiel. Le nombre général de décès en France est « habituel ».

La gestion des masques a été catastrophique. Même constat pour la gestion des tests. Est-il raisonnable d’adosser une politique sanitaire à des résultats de tests PCR non spécifiques, dont aucun scientifique sérieux, à commencer par leur inventeur, n’affirmerait qu’ils soient fiables pour établir un diagnostic ? Et ce d’autant plus que l’on a augmenté le nombre de cycles d’amplification. Est-il raisonnable de laisser la population décider de se faire tester de manière indiscriminée, sans avoir de symptômes, sans même avoir consulté un médecin ? Il en résulte un engorgement des laboratoires dommageables pour les autres pathologies à diagnostiquer. A 75 euros le test, cela représente un gaspillage scandaleux, alors même que l’on annonce une baisse du budget du ministères des Solidarités et de la Santé.

Est-il utopique dans notre démocratie d’exiger une transparence totale des chiffres et des connaissances scientifiques qui permettent de déterminer des stratégies efficaces pour lutter contre le Covid-19 ?

LE PAYS EST A BOUT !
LAISSONS LES MEDECINS DE TERRAIN FAIRE LEUR TRAVAIL !

Le collectif #COVID19-LaissonsLesMédecinsPrescrire suggère une charte des bonnes pratiques médicales pour aborder le Covid-19 dans le respect de la liberté et de la transparence.

Télécharger le communiqué de presse au format pdf

Télécharger la charte COVID.pdf

 LAISSONS LES MÉDECINS PRESCRIRE !

Le collectif de médecins #COVID19-LaissonsLesMédecinsPrescrire, après avoir réclamé en mars 2020 la liberté d’auto-prescription de l’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine, sous stricte surveillance médicale, dans le but de réaliser une étude observationnelle rigoureuse portant sur plusieurs milliers de médecins français infectés par le Covid-19, veille à ce que la médecine ne soit pas utilisée comme alibi pour maltraiter les populations.

Twitter @laissonslespre1

Contacts presse : Alexandra CARRASCO – [email protected]

POUR UNE CHARTE EUROPEENNE DES BONNES PRATIQUES EN SANTE PUBLIQUE

Non au gouvernement de la peur !

Neuf mois après le début de la crise du Covid-19, la situation dans notre pays demeure chaotique. Le gouvernement, toujours éclairé par un Conseil en principe scientifique, a pris et continue de prendre des mesures disproportionnées, contradictoires, non étayées par la science, pour beaucoup inutiles, liberticides et illégales au vu de la Constitution et de la hiérarchie des normes.

Pendant ce temps, nombre de médias s’alignent sur la stratégie de la peur en relayant des chiffres biaisés ou tronqués, en prenant aveuglement parti pour le dogme officiel, en brocardant les opinions divergentes, bref, en ne jouant plus leur rôle de contre-pouvoir, si nécessaire à une saine démocratie.

Nous sommes inquiets, non par la pandémie mais par les conséquences délétères de toute cette gestion inappropriée. Alors même que la courbe épidémiologique des décès est plate depuis le mois de juin, notre pays est maintenu dans un état d’alerte qui nuit gravement à notre vie économique, sociale, affective et même à notre santé. A défaut de la mort virale qui peine à dire sa preuve, la mort sociale commence à faire des ravages. Les faillites se multiplient, spectacles et activités culturelles continuent d’être annulés, 800.000 chômeurs supplémentaires sont annoncés, nos enfants sont cruellement contraints au port d’un masque et, pour beaucoup, privés d’école. Nos jeunes sont stigmatisés, nos anciens, isolés, notre vie de famille, entravée, nos malades chroniques, négligés… La liste serait trop longue. Le remède est en train de nous détruire.

Oui à un discours d’espoir !
La santé publique doit être au seul service des citoyens !

Nous ne nous résignons pas à cette « nouvelle normalité » qui consiste à terroriser la population plutôt qu’à la protéger, et qui est en train de s’installer dans le monde entier. Il est urgent de revenir à la raison et à la tempérance et de rêver d’une politique sanitaire conforme aux valeurs qui fondent notre nation et notre espoir d’un monde respectueux des droits humains.

Au vu de ce constat, notre collectif, en synchronie avec d’autres collectifs de médecins à travers l’Europe, a jugé urgent d’élaborer une charte des bonnes pratiques en matière de santé, préliminaire à des actions concertées des professionnels de santé européens.

Télécharger le communiqué de presse au format pdf

Télécharger la charte Laissons les médecins prescrire.pdf

 LAISSONS LES MÉDECINS PRESCRIRE !

Le collectif de médecins #COVID19-LaissonsLesMédecinsPrescrire, après avoir réclamé en mars 2020 la liberté d’auto-prescription de l’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine, sous stricte surveillance médicale, dans le but de réaliser une étude observationnelle rigoureuse portant sur plusieurs milliers de médecins français infectés par le Covid-19, veille à ce que la médecine ne soit pas utilisée comme alibi pour maltraiter les populations.

Twitter @laissonslespre1

Contacts presse : Alexandra CARRASCO – [email protected]

DISTINGUER LE VRAI DU FAUX :
IL N’EST PAS NÉCESSAIRE D’ADMINISTRER 67 COMPRIMÉS DE PLAQUENIL® POUR ATTEINDRE LA CONCENTRATION PLASMATIQUE EFFICACE D’HYDROXYCHLOROQUINE !

D’après SciencesetAvenir.fr du 24/04/2020, le Professeur Molimard, se fondant sur la concentration minimale d’hydroxychloroquine (HCQ) efficace pour inhiber in vitro la croissance du COVID-19 sur des cultures cellulaires (au moins 1 micromolaire ou 1µM), a utilisé un modèle pharmacocinétique pour en déduire que l’HCQ doit être prise à des doses mortelles pour espérer une efficacité thérapeutique. Plutôt que de faire un calcul théorique, il eût été plus simple de consulter les données publiées qui indiquent que les taux plasmatiques observés chez les patients traités pour lupus ou en...

lire plus

HARO SUR L’HYDROXYCHLOROQUINE : QUEL(S) OBJECTIF(S) ???
EN PARTICULIER EN PÉRIODE DE DÉCONFINEMENT ANNONCÉ

HYPOTHÈSE DE TRAVAIL N°1L’HYDROXYCHLOROQUINE (HCQ) ASSOCIÉE À L’AZITHROMYCINE (AZM) EN PHASE PRÉCOCE DU COVID-19 DIMINUE LE RISQUE D’ÉVOLUTION FATALE HYPOTHÈSE DE TRAVAIL N°2L’HYDROXYCHLOROQUINE (HCQ) SEULE POURRAIT ÊTRE EFFICACE EN CHIMIOPROPHYLAXIE (PRÉVENTION) DE L’INFECTION COVID-19 Au lieu de tout mettre en œuvre pour valider ou invaliderces deux hypothèses, tout est fait pour semer la confusionet empêcher les médecins de terrain de travailler  Aucun des résultats des études réalisées chez des patient-e-s hospitalisé-e-s à des stades graves de la maladie et publiés ces derniers...

lire plus

HYDROXYCHLOROQUINE : PERTINENCE D’UNE ÉTUDE PARFAITE EN TEMPS DE CRISE…
LAISSER MOURIR OU LAISSER EXERCER LES MÉDECINS EN VRAIS CLINICIENS ?

UNE HYPOTHÈSE DE TRAVAIL REPOSANT SUR UN RATIONNEL SCIENTIFIQUE (Professeur RAOULT) : L’HYDROXYCHLOROQUINE (HCQ) ASSOCIÉE À L’AZITHROMYCINE (AZM) EN PHASE PRÉCOCE DU COVID-19 DIMINUE LE RISQUE D’ÉVOLUTION FATALE RATIONNEL : l’HCQ et l’AZM ont une action antivirale in vitro ; l’AZM a une action préventive sur les surinfections pulmonaires ; HCQ et AZM peuvent agir en synergie. L’ÉTUDE PARFAITE EN SITUATION DE CRISE UNE TAILLE D’ÉCHANTILLON DÉFINIE STATISTIQUEMENT La taille de la population analysée doit être dimensionnée statistiquement en fonction de...

lire plus

UNE PREMIÈRE ÉTUDE PUBLIÉE TEND À CONFIRMER L’EFFICACITÉ DE L’ASSOCIATION HYDROXYCHLOROQUINE (HCQ) – AZITHROMYCINE (AZM)

LAISSONS LES MÉDECINS PRESCRIRE ! RÉSULTATS D’UNE PREMIÈRE ÉTUDE RANDOMISÉE CHEZ DES PATIENTS ATTEINTS DE COVID-19   Cette étude (1) a été réalisée en double aveugle versus placebo chez 62 patients pour évaluer l'efficacité de l'hydroxychloroquine seule, à une dose de 400 mg par jour pendant 5 jours. Fièvre et toux ont disparu en moyenne 1 jour plus tôt dans le groupe traité par HCQ à un stade précoce de la maladie. Aucun patient recevant l’HCQ ne s’est aggravé, alors que 4 des 31 patients du bras contrôle ont vu la maladie progresser. NOUS DEMANDONS LA REMISE À DISPOSITION DU...

lire plus

“AUCUNE PISTE NE SERA NÉGLIGÉE” : MONSIEUR LE PRÉSIDENT, NOUS COMPTONS SUR VOUS !

TOUT EST POSSIBLE !« AUCUNE PISTE NE SERA NÉGLIGÉE » * I. LE PROTOCOLE HYDROXYCHLOROQUINE/AZITHROMYCINE DOIT ÊTRE PRESCRIT CAR PERTINENT Cette association est pertinente1 car synergique in vivo, à la fois par son action antivirale et dans la prévention des surinfections pulmonaires2. Sa prescription doit se faire dans le respect des contre-indications propres à ces médicaments et sous surveillance cardiologique. II. Il DOIT ÊTRE PRESCRIT PRÉCOCEMENT CAR LA MALADIE PRÉSENTE AU MOINS DEUX PHASES D’ÉVOLUTION Une phase précoce pendant laquelle il faut agir sur la charge...

lire plus

PRESCRIPTION D’HYDROXYCHLOROQUINE : DÉCRYPTAGE POUR LES MÉDECINS

Saisi par un syndicat de médecins, le Conseil d’État a rappelé, dans son ordonnance du 7 avril 2020 (n° 439938), les conditions de prescription de l’hydroxychloroquine aux patients diagnostiqués positifs au Covid-19. Le Collectif « Laissons les médecins prescrire » tient à insister sur ce que dit le Conseil d’État. * Citant le Haut conseil de la santé publique, le Conseil rappelle fort opportunément que lorsque « l’indication du traitement à l’hydroxychloroquine a été́ retenue, il doit être initié le plus rapidement possible, dans le but d’éviter le passage à une forme grave...

lire plus

UN RÉFÉRÉ DEVANT LE CONSEIL D’ÉTAT

Le collectif #COVID19-LaissonsLesMédecinsPrescrire a préparé un référé-suspension devant le Conseil d’État de l’article 12-2 du décret 2020-337 du 26 mars 2020, restreignant la prescription d’hydroxychloroquine. Cependant, compte tenu de l’intérêt du Président de la République pour les données concernant l’hydroxychloroquine, et dans l’attente de son intervention lundi 13 avril au soir, le collectif #COVID19-LaissonsLesMédecinsPrescrire retarde le dépôt du référé de cette requête. Alors que chaque jour de plus en plus de personnes sont diagnostiquées comme souffrant du Covid-19, les...

lire plus

TOXICITE DE L’HYDROXYCHLOROQUINE :
ENFIN LES DONNEES DE l’ANSM !

3.987.854 de boîtes de PLAQUENIL® (hydroxychloroquine) ont été vendues en France entre le 01/01/2017 au 31/12/2019 (30 comprimés dosés à 200 mg par boîte). L’ANSM a recueilli les événements indésirables spontanément déclarés et les a analysés afin de conclure si l’effet déclaré était imputable ou pas au médicament. Les données de pharmacovigilance comportent, sur la période, 312 cas rapportant au moins un effet indésirable. Sur ces 312 effets indésirables, 21 (soit 6,7 %) sont des effets cardiovasculaires dont 4 cas d’insuffisance cardiaque, 8 cas de cardiomyopathie, 8 cas de troubles du...

lire plus

ESSAIS HYDROXYCHLOROQUINE / OÙ EN EST-ON ?

Au moins une cinquantaine d’essais dans le monde se penchent sur l’action de l’hydroxychloroquine dans le COVID-19. I. DES NOUVELLES DE « DISCOVERY » : SES DONNÉES INTERMÉDIAIRES ÉTAIENT ANNONCÉES EN FIN DE SEMAINE DERNIÈRE… Objectif : inclure 3.200 patient.es dont 800 en France (160 testant l’hydroxychloroquine seule sans association avec l’azithromycine) chez des patient.es ayant une atteinte pulmonaire. "Pour les premiers résultats et des premières tendances, rien ne sera disponible avant au moins la fin du mois." Pr Florence Ader - mercredi 08/04/20 (essai lancé le 22...

lire plus

COMMENT PRESCRIRE CORRECTEMENT L’HYDROXYCHLOROQUINE

Des alertes circulent sur la dangerosité de l’hydroxychloroquine. Il convient de rappeler que, bien utilisé, ce médicament n’est pas le poison que certains décrivent ! I. RESPECTER LES MODALITÉS DE PRESCRIPTION DANS LE CADRE D’UN USAGE COMPASSIONNEL L’hydroxychloroquine doit être prescrite dans le respect des contre-indications (grossesse, allaitement, insuffisance rénale sévère, insuffisance hépato-cellulaire, cardiomyopathie, troubles de la conduction ou du rythme ventriculaire).Avant traitement, il est nécessaire de disposer d’un ECG 12 dérivations (l’espace QT doit être ≤ 440 ms) et...

lire plus
  • Vos témoignages :

Merci pour ce beau travail qui sauve l'honneur de la profession. Et le coup d'après est déjà là, avec l'injonction de violer le secret médical !!!‌

Je viens d’être contacté par un suppôt de l’ARS, je devrais plutôt écrire suppo.. Il me faisait sa pub pour balance ton covid - je lui ai remonté les bretelles sur le fait qu’on était des soignants pas des épidémiologistes. Il m’a répondu qu’il ne pouvait pas à cause du secret médical? je lui ai répondu que moi non plus.. grrr

Nous sommes passés du statut d'homme de l'art, à celui d'homme de science, pour arriver à celui d'effecteur de santé... il est temps que nous retrouvions notre place, notre image et notre dignité !

Des médecins, pas des indics !

 

Soigner oui, dénoncer non !

Comment fait on depuis le début : dépister, isoler, traiter (comme on peut...) Et maintenant : brigades sanitaires, signalement par MG des cas COVID pour 55 €, supplément pour signalement des cas contacts Risque de rupture du secret pro et fichage ? On assiste et déresponsabilise, où est la prise de conscience dans tout cela ? Pas facile pour les DAM de nous vendre cela en last minute... Suis un peu dégoûté par la façon de nous acheter....

Le patient ne peut en aucun cas nous délier du secret médical. Il peut, lui-même parler de son état, mais pas le médecin, y compris après le décès du patient. Le secret médical couvre le patient, tout ce qu'il nous a dit, concernant lui-même ou un tiers, et tout ce qu'on a compris au cours de la construction (situation familiale, financière, ...).

Humour de l’ARS du Var... nous propose de fournir des ffp2 et Chir pour les personnels soignants, mais périmés !!! On est repassé en zone verte ça doit être pour ça...

Les ARS envoient des protocole de 50 pages et plus à appliquer immédiatement sous peine de sanctions à des structures libérales qui ont fait face au COVID-19. En pleine vague les ARS étaient totalement absentes pour les libéraux et là elles envoient des contrôleurs...

Des non soignants qui décident de qui on doit soigner ou non...

Les ARS nous ralentissent alors que nous devons rattraper le retard accumulé pour tous les patients COVID (-). Génial !

Pas vu un contrôleur ARS sur le terrain en plein risque de contamination...

Les assureurs qui refusent de payer les pertes d'exploitation des médecins libéraux. Formidable !

Inadmissible que les tous médecins de terrain n'aient pas accès aux masques FFP2. Encore la gestion de la pénurie et de l'impréparation.

Ma fille est retournée dans son collège mais ne ré-intégre pas sa classe puisque enfant de soignant...

Ce matin, je reçois un recommandé d’une patiente veuve d’une victime du Covid et de la dialectique 4D ...(Doliprane Dodo Domicile Décès)

J’ai subi une pression pour ne pas prescrire de l'hydroxychloroquine : on m’a proposé un arrêt de travail si j’avais trop peur du covid, on m’a demandé d’aller voir un psychiatre sous couvert que j’avais prescrit une fois de l'hydroxychloroquine à une personne en phase précoce.

Share This