Covid-19 laissons les médecins prescrire
Coordination Santé Libre
Le 31 janvier dernier, les médecins référents de la Coordination Santé Libre se sont réunis et ont communiqué leurs premières recommandations. Découvrez-les ici…
Edito
Nous avons créé le collectif « Laissons les médecins prescrire » courant mars dans le but notamment de réaliser une étude pour vérifier l’éventuelle efficacité du traitement associant l’administration précoce d’hydroxychloroquine (HCQ) et d’azithromycine (AZM) tel que proposé par le Pr Raoult à l’IHU de Marseille. Notre idée était que les médecins touchés par la maladie puissent s’auto-prescrire le traitement. Le laboratoire Sanofi France avait accepté de mettre l’HCQ nécessaire à disposition des médecins volontaires.
Malgré une demande massive des médecins libéraux, cette étude n’a pas pu être mise en place à cause du décret publié le 26 mars qui a explicitement interdit la prescription d’HCQ en ville y compris en auto-prescription.
Plusieurs demandes ont alors été réalisées auprès de la Direction Générale de la Santé et du Ministère pour que cette étude en usage compassionnel puisse se tenir. Aucune réponse favorable n’a été donnée. Il était pourtant d’un grand intérêt de conduire une étude prospective chez des médecins, en capacité de donner un consentement éclairé et de s’auto-surveiller cliniquement.
Bien que l’HCQ ait été en vente libre jusque mi-janvier et que c’est le second médicament le plus prescrit au monde, il était interdit de le prescrire en France au nom de problèmes de pharmacovigilance confus et sans substratum réel.
Le collectif a alors conduit une étude rétrospective qui a été expliquée dans un rapport en langue française (lien https://stopcovid19.today/2020/04/30/rapport-etude-retrospective-3-approches-therapeutiques-differentes/) et sous forme d’article en langue anglaise (lien https://www.journalajmah.com/index.php/AJMAH/article/view/30224). Elle démontre qu’il existe des traitements efficaces pour traiter précocement les malades atteints du Covid-19. Cette étude est confortée par de plus en plus de publications dans le monde (https://c19study.com/). C’est la raison pour laquelle, plus que jamais, le collectif est vigilant sur la liberté de prescription pour les médecins de ville.
Le refus de traiter les patients précocement atteints a eu pour conséquence la mise en place de deux confinements dévastateurs pour la société française dans son ensemble (impacts économiques, sociaux, humains et psychotraumatiques), confinements qui n’ont aucun rationnel scientifique et qui entraînent des mesures liberticides au nom de la santé.
Vous aussi cette situation vous interpelle ? Rejoignez le collectif et aidez-nous à faire changer les choses…
Médecins ou citoyens, qui que vous soyez, n’hésitez pas à signer le manifeste « LA 4e Voie » ! Lien https://manifestes-libertes.org/
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Communiqués de Presse
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Dernier communiqué de presse :
COVID-19 : Une pathologie qui se soigne
Un grand nombre de collectifs de médecins en Europe et dans le monde sont très inquiets des mesures disproportionnées que prennent les pouvoirs publics eu égard à l’évolution de l’épidémie de Covid-19, et des conséquences extrêmement dommageables de celles-ci sur l’économie et la santé de la population.
Est-il besoin de rappeler que “La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’autres incapacités” ? Sur le postulat d’une deuxième vague et de l’absence d’un traitement pour le Covid-19, les autorités restreignent la liberté de rassemblement, ferment des écoles, des restaurants, des cafés, annulent des événements culturels, continuent à imposer le masque jusque dans les salles d’accouchement et à diffuser la peur !
D’ailleurs, sur quelles données s’appuient-ils ? Qui explique au peuple les facteurs qui déterminent les prises de décision ? Quel est le pourcentage de la population qui pourrait définir ce qu’est une courbe d’incidence. Et pourtant, c’est ce facteur répété ad nauseam dans les médias, qui est censé justifier l’actuelle politique sanitaire ? Combien de citoyens ont eu connaissance des nombreuses études scientifiques concluant à l’efficacité de l’hydroxychloroquine en phase précoce ?
Le facteur de reproduction est aujourd’hui de 0,97, ce qui correspond à une régression de l’épidémie. Chaque malade ne contamine pas plus d’une personne. C’est un chiffre officiel. Le nombre général de décès en France est « habituel ».
La gestion des masques a été catastrophique. Même constat pour la gestion des tests. Est-il raisonnable d’adosser une politique sanitaire à des résultats de tests PCR non spécifiques, dont aucun scientifique sérieux, à commencer par leur inventeur, n’affirmerait qu’ils soient fiables pour établir un diagnostic ? Et ce d’autant plus que l’on a augmenté le nombre de cycles d’amplification. Est-il raisonnable de laisser la population décider de se faire tester de manière indiscriminée, sans avoir de symptômes, sans même avoir consulté un médecin ? Il en résulte un engorgement des laboratoires dommageables pour les autres pathologies à diagnostiquer. A 75 euros le test, cela représente un gaspillage scandaleux, alors même que l’on annonce une baisse du budget du ministères des Solidarités et de la Santé.
Est-il utopique dans notre démocratie d’exiger une transparence totale des chiffres et des connaissances scientifiques qui permettent de déterminer des stratégies efficaces pour lutter contre le Covid-19 ?
LE PAYS EST A BOUT !
LAISSONS LES MEDECINS DE TERRAIN FAIRE LEUR TRAVAIL !
Le collectif #COVID19-LaissonsLesMédecinsPrescrire suggère une charte des bonnes pratiques médicales pour aborder le Covid-19 dans le respect de la liberté et de la transparence.
Télécharger le communiqué de presse au format pdf
Télécharger la charte COVID.pdf
LAISSONS LES MÉDECINS PRESCRIRE !
Le collectif de médecins #COVID19-LaissonsLesMédecinsPrescrire, après avoir réclamé en mars 2020 la liberté d’auto-prescription de l’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine, sous stricte surveillance médicale, dans le but de réaliser une étude observationnelle rigoureuse portant sur plusieurs milliers de médecins français infectés par le Covid-19, veille à ce que la médecine ne soit pas utilisée comme alibi pour maltraiter les populations.
Twitter @laissonslespre1
Contacts presse : Alexandra CARRASCO – [email protected]
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Qui sommes-nous ?
Présentation initiale du collectif
Le collectif « COVID19-Laissons les médecins prescrire » regroupe des médecins, libéraux mais aussi hospitaliers répartis sur l’ensemble du territoire, inquiets par la polémique des jours derniers quant à l’utilisation de l’hydroxychloroquine dans le traitement du Covid-19. Ils considèrent que cette polémique donne une image de nature à semer la confusion dans l’esprit du public.
Nous devons avoir maintenant une attitude solidaire et efficace pour répondre à l’inquiétude de nos soignants et de nos patients.
Le Président de la République a très clairement indiqué que la Nation est en état de guerre sanitaire. Il est fait appel à toutes les forces vives qui le peuvent pour participer à cet effort de guerre, chacune dans son domaine de compétence.
Une étude clinique a été lancée au niveau européen (étude Discovery) à laquelle la France participe. Ce projet étudie l’efficacité d’un certain nombre de molécules ou associations de molécules anti-virales. L’hydroxychloroquine a été intégrée à l’étude mais en prescription isolée non associée à l’azithromycine (https://www.inserm.fr/actualites-et-evenements/actualites/covid-19-demarrage-essai-clinique-discovery), ce qui ne permettra donc de juger que de l’éventuelle efficacité de l’hydroxychloroquine mais pas de l’association à l’azithromycine. De plus il faudrait s’assurer que les patients auxquels elle est prescrite présentent bien une forme précoce de la maladie puisque le rationnel pharmacologique de l’action de l’hydroxychloroquine est la réduction de la charge virale au tout début de l’infection.
Afin de contribuer à disposer rapidement d’éléments complémentaires sur l’efficacité de l’association hydroxychloroquine et azithromycine administrées précocement chez des patients symptomatiques testés positifs au Covid-19, il serait utile de débuter une étude observationnelle structurée.
Nous savons que de nombreux soignants souhaitent et utilisent d’ailleurs déjà en auto-prescription l’hydroxychloroquine parfois en association avec l’azithromycine. Nous devons répondre à cette demande urgente en faisant tout pour coordonner cela avec rigueur ce qui permettrait d’obtenir le cas échéant des résultats complémentaires dans l’attente de ceux des études randomisées en cours.
Un décret récent (26 mars 2020) interdit l’accès à l’hydroxychloroquine en dehors de ses indications prévues par A.M.M. sauf dans un cadre hospitalier et surtout uniquement pour des patients dont la maladie a évolué à un stade suffisamment prononcé pour nécessiter de mettre les patients sous oxygène ou en réanimation. L’on connaît tous la situation d’extrême tension que vivent actuellement les services de réanimation et de médecine intensive.
Le collectif, qui comprend, des cliniciens au contact quotidien avec les patients, mais aussi des médecins disposant d’une grande expérience en matière d’études cliniques et d’analyse bio-statistique a mis en place un outil de recueil de données standardisées. À ce jour, plusieurs milliers de médecins en France sont infectés par le virus et présentent des signes de Covid-19. Certains, malheureusement, ont déjà payé de leur vie. Il est utile de collecter avec rigueur les données de ceux qui souhaitent un traitement précoce.
Les membres de ce collectif, soutenus par des médecins parlementaires, demandent qu’il leur soit possible d’accéder de toute urgence au traitement par hydroxychloroquine pour traiter dans un premier temps ceux d’entre eux qui sont infectés dans le cadre d’une étude observationnelle qui va obtenir des données avec rigueur. Ils ont parfaitement conscience des précautions d’emploi de ce produit commercialisé depuis 1949 et notamment de celles à prendre sur le plan cardiologique et ils sont parfaitement à même de les garantir.
Chaque prescription fera l’objet d’un recueil de données observationnelles qui permettra très rapidement d’analyser cette étude compassionnelle qui pourra contribuer à comprendre l’efficacité éventuelle de ce protocole et ce en dehors de toute polémique.
Coordination médecins libéraux : Dr Violaine GUERIN
Coordinations médecins parlementaires : Dr Martine WONNER
Le communiqué de presse au format pdf
News
Dernière news :
Ivermectine : vers une autorisation.
Le quotidien du médecin, le 17 janvier 2021
De plus en plus d’informations, mais aussi de désinformations à propos de l’Ivermectine, mais comme on dit, il n’y a pas de fumée sans feu. S’il y a désinformation, c’est que l’information dérange. Les informations, viennent de l’étranger, la désinformation est beaucoup française, pays qui dénigre tout par principe, avant de réfléchir.
INFORMATIONS (étrangères)
Dernière en date : le NIH, National Institute of Health, aux Etats Unis, viendrait d’autoriser les médecins à prescrire plus librement l’Ivermectine.
On est malheureusement dans le demi-fake. La lecture de la « décision » du NIH est différente : le NIH a simplement dit ; « c’est intéressant, il y a des résultats positifs, mais nous continuerons à examiner d’autres essais au fur et à mesure de leur publication avant de nous prononcer définitivement en faveur d’une recommandation ». C’est une avancée, mais pas encore une victoire, car avant c’était non, alors que maintenant c’est pourquoi pas ? Cela autorise toutefois les médecins à prescrire sous leur responsabilité, sur la foi d’études préliminaires à renforcer.
Les méta-analyses actuelles des études sur l’ivermectine dans le monde entier montrent des avantages indiscutables contre le SRAS-CoV-2. Le manuscrit rédigé par la FLCCC a été accepté pour publication, après un rigoureux examen par les pairs, et sera publié dans les deux prochaines semaines. Peut être consulté ici en avant-première.
Lire la suite sur le site de blog du Quotidient du médecin….
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